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C’est à une balade contemplative et émerveillée qu’invite chacune des œuvres de Virginie Boudsocq. Plongée dans une recherche d’équilibre entre réalisme et imperfection, l’emploi de la porcelaine comme matériau de prédilection est un choix délibéré de laisser la matière décider en partie par elle-même. De fait, cette terre capricieuse réagit à la température de cuisson, induisant réduction, déformations et modification de la couleur initiale. Autant d’altérations qui participent d’une forme d’éclosion, à l’image de la plante qui croit et évolue. Dans son travail, l’artiste s’applique à rendre compte d’un envahissement végétal tout en délicatesse, elle donne à voir le moment où, d’une feuille, jaillissent des fleurs exubérantes qui recouvrent tout. De la même façon, elle recouvre des formes de centaines de pétales et de fleurs en porcelaine, qui parfois se fendent et se décrochent. A l’instar d’une nature imparfaite, l’imperfection et la déchirure sont volontaires et assumées - voire espérées. Il s’agit de trouver une représentation pérenne de l’équilibre vital, pareil à un souffle fragile… Comme les plantes croissent et éclosent dans un acte vierge, bien qu’il soit toujours répété, les pièces de Virginie prennent forme selon le même rythme, d’un geste régulier et délicat nait une forme singulière, dont toutes les déclinaisons sont des odes à l’envahissement végétal, principale source d’inspiration de l’artiste. ...
Après des études en Arts graphique et Histoire de l’Art aux Beaux-arts, j’ai travaillé comme DA dans la publicité pendant plusieurs années. La naissance de mes enfants m’imposait un autre rythme. J’ai alors développé une gamme de pièces de décoration, avant de découvrir il y a un peu plus de 7 ans, la porcelaine. Autodidacte, j’ai appris au fur et à mesure des réussites et des échecs, à travailler cette matière dont je ne me lasse pas... Je me suis aménagé un espace chez moi, acheté un premier four et commencé à travailler la porcelaine de coulage, puis la pâte, en plaque....
Plongée dans une recherche d’équilibre entre réalisme et imperfection, l’emploi de la porcelaine comme matériau de prédilection est un choix délibéré de laisser la matière décider en partie par elle-même.
De fait, cette terre capricieuse réagit à la température de cuisson, induisant réduction, déformations et modification de la couleur initiale.
Autant d’altérations qui participent d’une forme d’éclosion, à l’image de la plante qui croit et évolue.
Dans mon travail, je m’applique à rendre compte d’un envahissement végétal tout en délicatesse, je donne à voir le moment où, d’une feuille, jaillissent des fleurs exubérantes qui recouvrent tout.
De la même façon, je recouvre des formes de centaines de pétales et de fleurs en porcelaine, qui parfois se fendent et se décrochent. A l’instar d’une nature imparfaite, l’imperfection et la déchirure sont volontaires et assumées - voire espérées.
Il s’agit de trouver une représentation pérenne de l’équilibre vital, pareil à un souffle fragile…
Comme les plantes croissent et éclosent dans un acte vierge, bien qu’il soit toujours répété, mes pièces prennent forme selon le même rythme, d’un geste régulier et délicat nait une forme singulière, dont toutes les déclinaisons sont des odes à l’envahissement végétal, ma principale source d’inspiration.