Après paris, la galerie d’art contemporain au concept novateur s’ouvre à l’international et commence par new york.
par morgane burlotto - photographies : gaelle le boulicaut
Après paris, la galerie d’art contemporain au concept novateur s’ouvre à l’international et commence par new york.
par morgane burlotto - photographies : gaelle le boulicaut
Après avoir passé 7 ans dans la finance, Amélie du Chalard ouvre une galerie d’un nouveau genre en 2015, bien avant Studio Miracolo (l’édition d’art en édition limitée) : Amelie, Maison d’Art. Avec l’idée de bousculer les codes traditionnels du marché de l’art contemporain, le rendez-vous est donné en ligne mais aussi et surtout au 18 rue Séguier dans le 6ème arrondissement. Un espace à l’intérieur chaleureux et pointu en guise de galerie. L’idée ? Exposer ses œuvres dans « des espaces exceptionnels pensés comme des maisons de collectionneurs ». Là-bas, on retrouve à la fois les oeuvres de créatifs multidisciplinaires établis et celles de jeunes pousses émergentes des 4 coins du monde : Ryosuke Yazaki, Alex De Bruycker, Louise Frydman, Clément Mancini ou encore Amber Moir…
Avec l’aide de critiques et d’historiens, la maison expose, compose avec une pluralité de médiums (peintures, sculptures, oeuvres sur papier, photographies, céramiques, oeuvres textiles…) mais collabore également avec les meilleurs architectes, designers sur des projets d’hospitalité. Les dernières expositions en date : Ronde (Cathrine Danou, Lili De la Roche), Présence Palpable (Natalia Jaime-Cortez, Alex De Bruycker), By the Window (Ethan Caflisch, Yosigo)… En plus de son rôle de curateur, Amelie, Maison d’Art fait office de résidence pour les artistes et les reçoit dans sa maison en Provence (avec une vue ouverte sur Alres, la Camargue et les Alpilles.)
Après le succès de sa première ouverture à Paris (18 rue Séguier) Amelie, Maison d’Art s’ouvre à l’international et pose ses toiles à New York. 600 m2 d’espace niché dans le célèbre quartier de SoHo, avec lequel la fondatrice espère conquérir le coeur des amoureux d’art. On ne doute pas que l’espace vivant (anciennement un atelier d’artiste) séduise : devanture de caractère – un landmark building datant de 1873 rénové par le duo d’architectes franco-américain Tess Walraven – Nike Vogrinec et Keith Burns – intérieur raffiné… À l’entrée, les céramiques en cascade de l’artiste Lili Delaroque, dans le salon, un canapé sur-mesure de l’éditeur français Pierre Augustin Rose… Une jolie adresse créative et bientôt le nouveau lieu de rendez-vous des artistes et collectionneurs des deux côtés de l’Atlantique !
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